Justine FURAHA : C’était pour moi comme un rêve

Madame Justine FURAHA, est une mère de 5 enfants, âgée de 33 ans, abandonnée par son mari depuis 2 ans . Comme d’autres qui ont perdu leurs biens et maisons le 17 août 2018 sur avenue Irambo, dans la paroisse St Pierre Claver de Nguba, elle n’avait jamais bénéficié d’un appui quelconque bien que d’autres en avaient déjà reçu. Elle vivait dans un désespoir total . Après qu’il ait été appuyée dans la reconstruction de sa maison, bénéficiée des quelques biens non vivre et après avoir fait adhérer ses enfants à la mutuelle de santé, elle nous déclare :

 « Je ne vivait plus en famille et je n’avais pratiquement pas envie de vivre. Ce vendredi, le feu a éclaté dans la chambre de ma voisine, quand elle était absente. Dans un lapse de temps, ma maison a pris feu et je n’ai pu sauver que mes enfants. Gloire à Dieu d’y avoir été sortie vivante.

Deux jour après cet incendie, mes voisins et autres victimes ont été assistés en biens vivres et non vivres, exceptés moi et certains d’entre nous bien qu’on était identifé. Nous nous demandions ce que nous avons fait à Dieu et aux hommes. Nous avons déjà perdu de l’espoir !

 Un bon matin en me réveillant, j’ai vu des personnes venir m’identifier. Je voyais comme si c’était une blague et normal. Je n’étais pas chaude pour donner mon identité car certaines personnes venaient nous identifier pour s’enrichir eux même en complicité avec les membres de Comité des sinistrés d’Irambo ! Ils nous identifiaient mais au moment de la distribution c’était d’autres personnes qui en bénéficiaient

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Votre méthodologie de sélection est bien différente car vous n’avez pas associé le comité de notre quartier pour procéder à l’identification, aux achats et distributions. Raison pour laquelle le partage a réussi  et a été équilibré. Je vous reste très reconnaissante et je prierai toujours pour que votre travail reste fructueux. Moi qui dormais dehors sous le froid sans couverture avec tous mes enfants, maintenant nous  dormons dans la maison . Le Seigneur s’est penché sur moi, je ne fais plus la honte du quartier Irambo, sinon j’étais devenue la cible du voisin et le rire de l’ennemi . Merci infiniment. C’était pour moi comme un rêve !» 

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